.Une mort dans l'eau [Screamer]

.T.z.
.T.z.o.i.n.g.
.T.z.o.u.f.
.T.z.c.l.a.s.h. .!.

Dans l'eau. Seul. dans cette eau morte. Douce. Morte. Sans mouvement. Un poisson remonta à la surface. Le ventre à l'air. Mort.

Un coup de jus si puissant que ça l'avatit tué. Bientôt, nombreux de ses conjénères le rejoignit au pays des étoiles.
Lighting avait tué. Avec sa robe éléctrisée, ses ailes en foudre, et sa tristesse sans limite, Light avait tué.

Ca ne lui était pas inconnu. Coupable. Oui, coupable. Une véritable sentation du culpabilité, comme celle qui serre les entrailles des comdamnés à mort, comme celle qui tue les criminels après leurs proies, comme celle qui détruit peu à peu le coeur et l'àme des voleurs. Tant d'esprits innocents avaient été envoyés au ciel par sa faute.
Le Ciel pleurait. L'étalon releva les yeux. Le Ciel pleurait. Peut être était-ce sa faute ? Oui. Sûrement. Il avait fai trop de dégats. Et pouratnt il restait là. Dans l'eau éléctrisée. Plusieurs corps sans vie remontaient. Et pourant il restait là.
*Je suis idiot...*

Il aurait dû se tuer, comme tous les autres coupables de ce monde. Mais non. Il restait là, planté.
Une larme, boule de jus blancs, éléctrique, tomba dans l'eau. Une toile blanche, rapide, comme celle d'une arraignée parcourut la surface de l'eau en un éclair -c'est le cas de le dire- et toute la mare se changea en creuvasse ressemblant à une ancienne base de dynamo, comme une catastrophe élécronique, une explosion radioactive. L'eau monta, monta, monta encore, puis retomba d'un seul coup. Plusieurs centaines de corps innanimés revinrent à la surface lisse du liquide, sur le dos. Mort.

Light soupira, puis, d'un pas lent, calme et coupable, coupable, il sortit de la mare, evitant les corps décharnés des poissons.

[ Ok mais c'un peu court -.- tu pourrait ralonger un peu stp? ]

[J'ai édité. Désolée, la dernière fois, j'était fatiguée. ^^ ]

Je marchais sur l'île, dans un calme souverain, la nuit ne tarderait surement à tomber et le vent soufflait paisiblement entre les arbres en fleurs aux couleures vives, fushia inspirant la joie et le bonheur. Tout ce qui n'éxistaient pas en ce monde cruel et sans pitiè pour les être qui le peuplait. Ou pas pour moi, j'avais bien étè heureuse avant, quand mon père était encore là, avant la guerre de mon troupeau, avant que j'arive ici, avant, avant, avant... Mais à quoi bon s'apitoyer sur son sort ? Cela ne réouderait pas les problèmes, il fallait se débrouiller et faire avec, oublier le passé, ne se soucier que du moment présent, ne pas aller vers le futur. Il fallait être fort, est cà, j'avais arrêter de l'être depuis bien longtemps. Avant...

Quand mes sabots se posaient sur la plage, imposant ma marque meutrière, je ne me doutais pas qu'il y avait sur cette île quelqu'un connaissant la tristesse, et qui savait ce que c'était de se faie rejeter. Rejeter per les autres par ce que l'ont est différents, tueur sans le faire exprés. Pour certains chevaux la différence faisait peur, qui n'avait jamais, dans sa jeunesse jamais crut aux loup garou ? Ces hybrides difformes qui se métamophosait la nuit de pleine lune pour tuer sans s'en souvenir son meilleur ami, ses parents... Mais pourquoi se décourager comme ça ? Je ne pouvais pas, il fallait reprende du poils de la bête, partir de l'avant ! Mais où trouver cette force lorsque l'on est seul et déserpéré ?

Je m'arrêta et releva la tête, mes crins volaient dans le vent, dans le ciel des nuages noirs et gris se précipitait vers l'île à une vistesse fulgurante. Et bientôt il se mit à pleuvoir, d'abord quelques gouttes insignifiante, puis aprés des cordes dégouliannt le long de mon corps, plaquant ma crinière soyeuse fantomatique sontre mon encolure noire, obscure. Mon toupet cachait mon oeil droit que je ne dévoilais jamais. Les éffluves d'un équidé inconnu me parvinrent. Je repris ma route au pas, lentement et en silence. Quelques vingtaine de mètre plus loin je planta mes quatre sabots blancs dans le sable humide de la plage, il se tenait là, sans rien dire, marchant vers le bord de la plage. Il ne m'avait surment pas vu, je préférait ne pas hennir, pourquoi faire ? Et puis pourquoi parler pour que l'on se foute encore de ma gueule ? Mais je le divisageat et il me paraissait différent des autre dans tout les mouvment qu'il faisait, et surtout par ses large ailes inabituelles faites de foudre. Mais ce n'était pas tout, ses memebres portaient des balazanes blanches ainsi que ses crins et sa tête. Mais ca s'éait assez normale tout comme son corps bleu, car tout les équidés peuplant ces terre étaient surnaturels. Des faisseaux d'élécricité sortaient partout de ses membres jusqua sa crinière et sa queue. J'hésitait à m'approcher ou partir chercher un abris contre la têmpête qui se préparait.

La Pluie tomabit à flots
Roulant comme un torrent sur les bords de l'eau.

L'étalon fixa le Ciel
*Mon Dieu, qu'ai-je fait pour mériter une chose pareille ?*

la réponse s'imposait :
La Nature à besoin de caboyes.
Il vivait cela depuis la naissance
Il n'avait rein fait.

Une présence
Un bruit.

Light releva brusquement la tête
Il avait entendu quelque chose.

A force de vivre dans le silence le plus complet
On finit par entendre n'importe quoi.

L'étalon replia ses ailes sur lui même
Evitant de s'approcher
Même si il en mourait d'envie.

Je le distinguait de moins en moins, la brume apparaissait petit à petit comme un faite exprés pour que je ne le voit plus. Mais ça je m'in fichait, finalement il fallait peut être mieux que je face volte face pour trouver un abris et oublier cet instant où je manqua que l'on se fiche encore de moi.

Je tourna mes hanches autours de mes épaules, et je partis au pas vers le centre de l'île. Je commencait à m'enfoncer dans les arbres et les coctiers. Seul être vivant, noir et blanc, la nuit et le jour, le bien et le mal, surtout le mal. Ma robe bicoore faisait un sérieux contraste avec les fleurs exotiques et les feuilles gigatesque verdoyante desquels se déversait sur le sol les trombes d'eau froides. Bientôt le vent se méla à la partie, il fallait vite que je trouve un endroit bien au sec. J'avais déjà oubloer l'existance de l'étalon bleu. J'avais étè tellement habituée à oublier, recommencer et re-oublier tout les meutres que j'avais étè contrainte de causser. Mais j'ai appris à ne rien regretter, à ne rien redouter. Pas même la solitude qui est mon meilleur allier.

Je vit une grotte en face de moi, mais je n'accélrat pas pour autant. Je marchait calme et tranquile, j'était une intruse dans ce lieu coloré et joyeux, je semblait tout droit sortie d'un film en noir et blanc pour m'incruster dans un monde flash qui était totalement différent de se que je connaissais. Avant que je n'eu le temps de rentrer dans la grotte, un écleire zébra le ciel, la pluie tombait avec de plus en plus de conviction, le vent continuait de souffler et la brume se faisait tellement épaise que l'on ne voyait même plus à deux mètre devant sois. Heureusement je rentra dans la grotte, auréole de chaleure. Je ne chercha pas à comprendre et je m'enfonca jusqu'au bout, seul mon oeil jaune brillait. Doucement je me coucha en repliant mes membres fin en dessous de mon corps.

J'avais toujours détesté les oreges, depuis le jour de ma naissance qui fut gravé à jamais de ma mémoire. Ce jour, la pluie, le vent la brume. Plus un bruit, plus un animal, un lieu désert jusqu'a ce que le tonnerre gronde, et un éclaire trancha le ciel dans un denrier crit de celle qui venait de me donner la vie. Morte épuisé, par ma faute.

Light ouvrit ses ailes
Et un éclair ravagea le Ciel
Déchira les nuages
Avant de finir sa course au ses pieds.

L'étalon baissa la tête
Observant le petit trou que le trait de lumière venait de créer
Sans rien dire
Juste habitué
Monotone
Triste
Coupable.

L'autre jument était partie
Mais Light, un peu naïf sur les bords
Voulait qu'elle le comprenne
Sen faire une amie !

C'était peine perdue dès le départ même de l'idée
Mais qui ne tente rien n'a rien.
L'étalon rejoignit alors l'entrée de la grotte
Où il brillait de tous ses feux dans ce noir complet.

Je fermais les paupière, pour m'endormir, la nuit n'était pas totalement tombé, mais avec l'épaisse couche de nuages noirs qui assombrissaient le ciel, on se serait crut au crépuscle. Le vent persistait de plus en plus dans le feuillages émeraudes des arbres exotiques, des noix de cocos parsemaient ce qui restait de la plage, car les vagues étaient tellement hautes que leur rouleaux dévastateur pénétrait dans la fôret. Et les diverses végétaux que la mer emportait suivaient le flux du courant marin. Les éclaires se faisaient de plus en plus nombreuses, et s'abbaitaient sur le sol avec davantages de vivacité, le gromdement du tonnerre ,lui, s'emplifiait à rendre sourd n'importe qui. Je posa ma tête doucement sur le sol rocheux et chaud. Pour oublier.

Ma longue crinière détrempé me colait toujours à l'encolure, tombant sur le sol et s'encrassant de poussière de roche, il en était de même pour ma queue. De mes poils, partout sur mon corps l'eau ruisselait, bientôt je fus entouré d'une flaque d'eau. Je percut un bruit infime, mes oreilles se couchèrent insctictivement, je raprocha ma tête de mon épaule et mon poitrail. C'est là que je me souvins, l'étalon bleu. Je l'avait carrément oublier celui là ! Il n'y avait pas de doutes possible, c'était bien lui, je reconnaissais son odeure. Et qui d'autre pouvait bien sortir par ce temps si ce n'était lui ? Je releva progressvement mon encolure en ouvrant peu peu mes paupière, puis je tourna ma tête dans direction. Mon toupet cachant bien mon autre oeil, le rouge que je n'avais jamais dévoilé, et ceux qui l'avait déjà croiser sont mort aujourd'hui. Je découverais sa silhouette bleu et éléctrisé. Je l'invita d'un signe visible de la tête à rentrer dans la grotte.

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